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■ ACTU - Le combat en rangs divisés
À la veille d’une grève interprofessionnelle orchestrée par les syndicats et quelques jours après la mobilisation des collectifs de salariés du médico-social, mercredi 28 septembre des rassemblements ont eu lieu dans toute la France. Cette fois, l’appel émané des fédérations du privé à but non lucratif : CNAPE, FAS, FEHAP, Mutualité Française, Nexem, Unapei, Unicancer, Uniopss.
Le but est à nouveau d’alerter les pouvoirs publics sur la dégradation des conditions des métiers du soin et de l’accompagnement, de revendiquer une revalorisation salariale et une augmentation des dotations des pouvoirs publics.
Si des salariés ont boycotté ce rassemblement reprochant aux organisations patronales d’avoir attendu la crise du recrutement pour défendre les métiers du prendre soin, d’autres sont venus soutenir les revendications. Beaucoup regrettent cette division contre productive.
À Marseille, les principales organisations d’employeurs du privé non lucratif et négociatrices de la fusion des conventions collectives, Fehap-Nexem ne se sont pas déplacées.
A suivre les retours de Paris et Lyon
