N° 1243 | Le 22 janvier 2019 | par Mariette Kammerer | Angle droit
En septembre dernier, le Groupement d’intérêt public enfance en danger (Giped) a échappé de peu à une baisse de dotation de l’État qui aurait remis en cause son fonctionnement. Une occasion de revenir en détail sur le fonctionnement du Gip, composé d’un service d’accueil téléphonique, le 119, et d’un observatoire de la protection de l’enfance.
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