N° 803 | Le 29 juin 2006 | Dossiers
Pendant plusieurs années, sept jeunes femmes déficientes mentales et prises en charge dans un foyer d’accueil spécialisé du midi toulousain ont subi des sévices sexuels, brutalités et humiliations de la part d’un moniteur d’atelier en quête de « proies faciles ». La question des droits de la personne et de l’éthique dans les institutions est relancée.
Ce contenu est réservé aux abonnés à la version numérique de Lien social
Accédez à tous les articles du dossier pour 4,00 EUR
Vous êtes abonné(e) ?
Connectez-vous pour accéder en ligne aux contenus de Lien Social.
Vous n’êtes pas abonné(e) ?
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout le site.
S’abonnerDans le même numéro
Dossiers
Entretien avec maître Sanac, avocate de Mathilde, partie civile
“Quand une personne a envie de signaler quelque chose de grave ou d’anormal, elle ne sait pas ce que va devenir son signalement – cela vaut aussi pour les victimes”
Lire la suite…Ce que dit la loi en quelques repères
Les agressions sexuelles sont définies par les articles 222-22 à 222-33 du code pénal. Guidées par un motif sexuel, elles constituent un acte (pénétration, attouchements, exhibition, harcèlement) qu’une victime sous la contrainte ne peut empêcher en (...)