D’après l’intervention de Marie-Eve Joël, économiste de la santé, pendant le colloque « Négocier sa vie », le 19 mai 2009, à Lyon. Marie-Eve Joël est aussi professeure à l’Université de Paris Dauphine, et directrice du laboratoire d’économie et de gestion des organisations de santé.
Ce contenu est réservé aux abonnés à la version numérique de Lien social
Accédez à tous les articles du dossier pour 4,00 EUR
Vous êtes abonné(e) ?
Connectez-vous pour accéder en ligne aux contenus de Lien Social.
Vous n’êtes pas abonné(e) ?
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout le site.
S’abonnerDans le même numéro
Dossiers
« L’autonomie renforce la citoyenneté »
Entretien avec Jean-Pierre Ringler, président de la coordination Handicap et Autonomie.
Lire la suite…Une vie aménagée
Bernard Gaudon négocie son quotidien pour gagner le maximum d’autonomie autour de la présence obligatoire d’un auxiliaire de vie sociale deux heures par jour.
Lire la suite…Auxiliaire de vie sociale : femme de ménage ou travailleur social ?
L’auxiliaire de vie sociale est promis à un bel avenir. D’ici 2015, 400 000 emplois devraient voir le jour pour soutenir le développement de l’accompagnement à domicile des personnes âgées dépendantes et handicapées. Un enjeu pour l’emploi, la qualité de vie et l’éthique. À condition toutefois de professionnaliser les intervenants qui exercent un métier complexe, épuisant, sous valorisé, mal rémunéré et souffrent d’un manque de reconnaissance.
Lire la suite…