N° 747 | Le 31 mars 2005 | Dossiers
De la loi asilaire de 1938 sur les « aliénés » à la sectorisation, de l’enfermement à la création des hôpitaux de jour et des centres d’accueil thérapeutique à temps partiel (CATTP), la maladie psychique tend à s’effacer comme symptôme au profit de ceux qui en souffrent. Hors les murs de l’hôpital, ces hommes et ces femmes ont besoin de lieux pour reprendre confiance et retisser du lien social. En France, depuis une vingtaine d’années, les clubs thérapeutiques constituent une étape supplémentaire dans la réappropriation de leur identité et leur permettent d’être acteurs de leur vie, même lorsque celle-ci menace de leur échapper.
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