N° 473 | Le 11 février 1999 | Dossiers
Mineurs en fugue, en rupture de famille ou de placement, jeunes adultes en pleine dérive, ils déstabilisent souvent les travailleurs sociaux car certains… ne leur demandent rien ! Avant d’errer dans la vie, ces jeunes ont tous commencer par errer dans leur tête, et c’est là qu’il faut les aider. Après, c’est beaucoup plus difficile.
Surtout pour ceux qui, de chute en chute, s’enferment dans une véritable carrière d’errant, allant alors de la mort sociale à la mort tout court. Il revient aux acteurs sociaux la responsabilité d’inventer de nouvelles réponses, et, de faire émerger des solutions dans une dynamique d’intelligence collective où chacun ait sa place : les institutions dans leur capacité à s’adapter et à descendre de leur tour d’ivoire, les professionnels dans l’imagination de nouvelles pratiques et les jeunes dans la reconstruction de leur personne
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