N° 759 | Le 30 juin 2005 | jacques Trémintin | Dossiers
Des travailleurs sociaux de la DDSS du procès d’Angers racontent leur stupeur, décrivent leurs conditions de travail et proposent des pistes pour mieux encadrer les familles.
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Procès d’Angers : une institution derrière ses salariés
Quoi de plus terrifiant, pour une institution chargée de la protection de l’enfance que de constater qu’elle n’a rien vu des agressions sexuelles subies par des dizaines d’enfants dans les familles que, pourtant, elle suivait ? Pour aider ses salariés à dépasser la sidération dans laquelle ils étaient plongés, la direction du développement social et des solidarités du Maine-et-Loire a mené une action exemplaire.
Lire la suite…{« Sortir de l’émotion pour élaborer de nouveaux outils »}
Quelles leçons les services du Conseil général du Maine-et-Loire retirent-ils du procès d’Angers ? Odile Sampeur, sous-directrice enfance jeunesse à la Direction du développement social et des solidarités, nous parle de ce qui a été mis en œuvre.
Lire la suite…