N° 863 | Le 29 novembre 2007 | Dossiers
Que faire des adolescents qui ne trouvent pas leur place dans les dispositifs d’accueil liés à la protection de l’enfance ou à la protection judiciaire de la jeunesse ? Ces jeunes, difficiles ou en grande difficulté, souvent les deux à la fois, passent d’un établissement à l’autre sans qu’aucune équipe ne parvienne à résister à leurs « attaques », au risque, fréquent, de finir par sortir du système de prise en charge. Faut-il créer de nouvelles structures pour accueillir ces « patates chaudes », comme les appellent certains professionnels ? L’idée ne fait pas l’unanimité, certains lui préférant le travail en réseau.
Pourtant, dans plusieurs départements, de nouvelles expériences sont tentées, articulant soin psychiatrique et éducatif. Le fonctionnement de ces structures spécifiques, qui se connaissent rarement entre elles, ouvre de nombreuses questions : quelle place pour chaque acteur, quel risque de dépendance pour le jeune, quel danger d’alimenter voire de créer la demande, etc. Trois exemples, en banlieue parisienne, en Bourgogne et en Franche-Comté
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