N° 1323 | Le 20 septembre 2022 | Propos recueillis par Rozenn Le Berre | Dossiers
À Calais, l’histoire se répète depuis des décennies : sur le volet humanitaire, l’action de l’État demeure tantôt totalement absente, tantôt sous-dimensionnée. Sur le volet répressif, l’entrave au travail des associations et le démantèlement des lieux de (sur) vie restent la norme.
Ce contenu est réservé aux abonnés à la version numérique de Lien social
Accédez à tous les articles du dossier pour 4,00 EUR
Vous êtes abonné(e) ?
Connectez-vous pour accéder en ligne aux contenus de Lien Social.
Vous n’êtes pas abonné(e) ?
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout le site.
S’abonnerDans le même numéro
Dossiers
Campements • Des mineurs privés de protection de l’enfance
L’association ECPAT-France maraude quotidiennement dans les campements de Calais pour repérer, conseiller et accompagner les mineurs. L’accès au droit commun de la protection de l’enfance demeure très complexe pour ces adolescents en transit.
Lire la suite…Calais • Les associations sous contrôle(s)
À mesure que les services de l’État inventent de nouveaux outils répressifs contre les personnes exilées bloquées à la frontière franco-britannique et leurs soutiens, la relation entre associations mandatées et associations humanitaires intervenant à Calais (Pas-de-Calais) ne cesse de se détériorer.
Lire la suite…