Précarité et troubles psychiques vont souvent de pair.Face à ce cumul de difficultés, les intervenants sociaux et sanitaires, faute de pouvoir apporter une réponse globale, ont tendance à se renvoyer le problème. D’où la nécessité d’inventer une structure souple : l’équipe mobile « psychiatrie et précarité », à l’interface du social et du médical.
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