N° 656 | Le 6 mars 2003 | Dossiers
Le 8 mars, Journée de la femme, 2003 année de l’Algérie en France. Deux événements qui se croisent et expliquent notre dossier. Pour le réaliser, nous avons rencontré Khalida Toumi Messaoudi dont l’entrée au gouvernement, avec quatre autres femmes, constitue une évolution considérable des mentalités politiques en Algérie. Être femme et travailleur social est également rarissime car le code de la famille officialise l’infériorité de la femme et renie le principe même de l’égalité des sexes.
Néanmoins, le portrait d’Amina Rahali, psychologue dans le seul centre d’écoute téléphonique du pays pour femmes violentées, prouve qu’il est possible de lutter contre la misogynie ambiante. Enfin un reportage au centre Darna sur les hauteurs d’Alger qui accueille, dans une hostilité environnante pesante, des mères isolées prouve que l’on peut entrer en résistance. Parcours de femmes dans l’Algérie d’aujourd’hui
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Portrait d’un engagement
Psychologue, Amina Rahali fait un parcours représentatif de la jeunesse cultivée algérienne qui a grandi pendant la guerre civile. Depuis ses années étudiantes jusqu’à son poste dans une association d’aides aux femmes battues, son histoire est marquée par un engagement auprès des plus malheureuses, dans un contexte où se mêlent intervention sociale et engagement militant
Lire la suite…Des mères isolées sur les hauteurs d’Alger
Le centre d’accueil de Darna reçoit des femmes et leurs enfants victimes du terrorisme ou d’un climat social écrasant. En l’espace de quelques mois, elles apprennent à se reconstruire et à préparer un nouveau départ
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