N° 857 | Le 18 octobre 2007 | Dossiers
À Grenoble, une sociologue a créé une association après avoir, pendant deux ans, observé et noué des liens avec des femmes en errance.
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Dossiers
Un projet humaniste pour aider les femmes toxicomanes
Anne-Lise Dehée a été coordinatrice d’un groupe d’auto-support de consommatrices de drogue vivant dans les squats. Présidée par Anne Coppel et soutenue par la mission squat de Médecins du Monde, cette tentative montre l’intérêt d’une telle approche mais également les obstacles qu’elle rencontre.
Lire la suite…Toxicomanie : corps malmenés, images écornées
Les femmes toxicomanes en errance ont, bien souvent, un rapport douloureux à leurs corps, objet de toutes les violences, violence des produits, violence de la rue, violence des hommes. Certaines structures les aident pour qu’elles se réapproprient une autre image d’elle-même.
Lire la suite…« Aux yeux de la norme, les femmes toxicomanes enceintes cumulent tous les handicaps »
Christina Saliba Sfair est assistante sociale au sein du premier centre en France qui travaille sur la notion de soins et de parentalité avec des couples parents, consommateurs de drogue.
Propos recueillis par Marianne Langlet.
Etre femme, toxicomane et dans l’errance. Vers des dispositifs adaptés
Longtemps, les études sur les consommateurs de drogue ne distinguaient pas les hommes des femmes. Le vécu des femmes toxicomanes restait inconnu. Pourtant, au quotidien, les structures d’accueil qui rencontrent ces femmes se confrontent à des réalités bien différentes de celles des hommes.
Lire la suite…