N° 816 | Le 9 novembre 2006 | Dossiers
Le paysage des formations sociales est en plein bouleversement. Les équivalences et les échanges européens, de nouvelles contraintes économiques et la validation des acquis de l’expérience y sont bien sûr pour quelque chose. Mais en amont, les différentes étapes de la décentralisation, qui ont changé la donne, ont installé un climat d’appréhension sur le partage des compétences entre État et régions. Depuis peu, les choses semblent enfin aller s’améliorant.
Ce contenu est réservé aux abonnés à la version numérique de Lien social
Accédez à tous les articles du dossier pour 4,00 EUR
Vous êtes abonné(e) ?
Connectez-vous pour accéder en ligne aux contenus de Lien Social.
Vous n’êtes pas abonné(e) ?
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout le site.
S’abonnerDans le même numéro
Dossiers
Quatre grandes dates concernant les orientations politiques en matière de formation
16 juillet 1971 : loi n° 71-575 portant sur l’organisation de la formation professionnelle continue dans le cadre de l’éducation permanente. L’article 1 expose l’esprit de cette loi : « La formation professionnelle permanente constitue une obligation (...)
Formations en travail social : la fin d’un système « à part » ?
De la déclaration de Bologne en décembre 1999 recommandant l’harmonisation des diplômes européens, aux nouvelles orientations des politiques publiques en matière de formation impulsées par la loi du 4 mai 2004, les sociétés modernes accompagnent une transformation structurelle des modes de professionnalisation. Une évolution à laquelle n’échappe pas le dispositif français de formation en travail social.
Lire la suite…