N° 701 | Le 18 mars 2004 | Dossiers
Beaucoup de familles en difficulté ont les moyens de se loger correctement si une solution raisonnable leur est proposée. Mais l’action sociale préfère dépenser jusqu’à quatre fois le montant d’un loyer en HLM pour les héberger dans des hôtels taudis, dramatiques pour la santé. Des mouvements fleurissent un peu partout pour dénoncer cette situation. De nombreux professionnels ont décidé de sortir de leur devoir de réserve pour se mettre en première ligne des mouvements revendicatifs
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Dossiers
La responsabilité « d’alerter, d’informer, de nous battre »
La Coordination des travailleurs sociaux pour le droit au logement pour tous du 93 dit ne plus pouvoir faire face au nombre croissant de familles qui n’ont pas accès au logement. Il n’est plus possible d’accepter passivement cette situation, au prétexte qu’ils sont de simples employés, expliquent-ils. Ils comptent étendre leur mouvement à l’ensemble du territoire et peser ainsi sur la politique du logement.
Propos recueillis par Katia Rouff.
La raison du plus fort
Les travailleurs sociaux franciliens organisés en collectifs pour le droit au logement ont proposé, début mars 2004, une projection-débat autour d’un film particulièrement dérangeant [2]. Un représentant syndical de l’OPHLM est venu souligner les convergences de lutte. Les collectifs et coordinations de travailleurs sociaux et d’étudiants en travail social se font de plus en plus nombreux.
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