Pour ne pas avoir accepté de ne plus se mêler de ce qui la regarde et avoir exercé son métier jusqu’au bout, Marina, assistante sociale dans l’armée, a subi les foudres de sa hiérarchie. Licenciée, elle a réintégré son poste à l’issue d’un jugement
Ce contenu est réservé aux abonnés à la version numérique de Lien social
Accédez à tous les articles du dossier pour 4,00 EUR
Vous êtes abonné(e) ?
Connectez-vous pour accéder en ligne aux contenus de Lien Social.
Vous n’êtes pas abonné(e) ?
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout le site.
S’abonnerDans le même numéro
Dossiers
Réflexion sur l’accompagnement et la responsabilité
En cette période mouvementée qui voit la loi sur la prévention de la délinquance remettre en cause l’essence même de nos professions, l’association nationale des assistants de service social a organisé des journées de réflexion [2], en novembre dernier, pour faire le point sur un certain nombre de fondamentaux.
Lire la suite…Qu’en est-il du secret professionnel ?
Pris entre le secret professionnel et la nécessité de lâcher quelques informations pour réussir un bon travail de partenariat, le métier d’assistant social est un jeu d’équilibriste dans lequel l’usager doit être gagnant
Lire la suite…