Entretien avec Olivier Razac, enseignant-chercheur à l’École nationale de l’administration pénitentiaire. Philosophe de formation, il étudie actuellement les conséquences du placement sous surveillance électronique mobile (PSEM), dispositif destiné aux auteurs de crime dont la peine est fixée à au moins sept ans.
Ce contenu est réservé aux abonnés à la version numérique de Lien social
Accédez à tous les articles du dossier pour 4,00 EUR
Vous êtes abonné(e) ?
Connectez-vous pour accéder en ligne aux contenus de Lien Social.
Vous n’êtes pas abonné(e) ?
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout le site.
S’abonnerDans le même numéro
Dossiers
Les conseillers d’insertion et de probation plébiscitent la mesure
Assistantes sociales au service pénitentiaire d’insertion et de probation du Calvados, Elisabeth Hardouin et Isabelle Boutté portent un regard largement positif sur cette mesure.
Lire la suite…Le bracelet électronique, une liberté très surveillée
Eviter la prison, préparer au mieux la sortie des détenus et réduire la population carcérale. Tels sont les objectifs visés par le placement sous surveillance électronique. Un peu plus de dix ans après la promulgation de la loi de décembre 1997, le bilan est positif. Mais attention, le placement sous surveillance électronique ne constitue pas une solution envisageable pour tous les détenus.
Lire la suite…