Le défi est immense : concilier productivité et handicap. Pour ce faire, la direction de Bretagne Ateliers avance à pas comptés, mesurant chaque décision à l’aune de paramètres apparemment aussi opposés que l’intérêt du salarié ou le service rendu au client. Daniel Lafranche et Sophie Fabbi, respectivement directeur général et assistante sociale expriment leurs points de vue sur cette méthode.
Ce contenu est réservé aux abonnés à la version numérique de Lien social
Accédez à tous les articles du dossier pour 4,00 EUR
Vous êtes abonné(e) ?
Connectez-vous pour accéder en ligne aux contenus de Lien Social.
Vous n’êtes pas abonné(e) ?
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout le site.
S’abonnerDans le même numéro
Dossiers
Le rejet des entreprises classiques
Pierre-Yves Leprince et Houcine El Khalloufi travaillent respectivement à Bretagne Ateliers depuis cinq et vingt ans. Expériences à l’appui, ils ont constaté que les entreprises du milieu ordinaire ne leur faisaient aucune place.
Lire la suite…Une gestion plus complexe des ressources humaines
Pyramide des âges largement défavorable, effets pervers de la nouvelle loi, taux d’absentéisme élevé, etc. Dans une entreprise de travail adapté, la gestion des ressources humaines est un véritable casse-tête.
Lire la suite…Bretagne Ateliers, trente ans d’expérience et d’innovation
Sous-traitante d’industriels majeurs comme Peugeot-Citroën, cette entreprise adaptée dégage un résultat financier conséquent. Il est vrai que le management est basé sur le principe de la pyramide inversée. Mis au centre des préoccupations, l’opérateur est ici véritablement considéré et pleinement valorisé
Lire la suite…