N° 1187 | Le 9 juin 2016 | Sommaires
Pendant longtemps, les personnes porteuses d’un handicap ont été bannies de toute vie sexuelle. À l’IME de Blain (Loire-Atlantique), l’éducation à la vie affective passe par l’apprentissage de la vie sociale et du respect de l’autre. Une autre structure montre comment on peut pousser à l’extrême le vécu d’une sexualité qu’aucun prétexte de déficience ne saurait freiner. Le psychanalyste Denis Vaginay revendique le registre du droit commun pour des pratiques d’éducation à la vie affective reposant sur un principe : l’égalité des êtres humains.
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