Conseiller d’insertion et de probation, Julien travaille dans un SPIP depuis treize ans. Gardant l’anonymat car tenu à l’obligation de réserve, il dénonce la méconnaissance de cette profession et la surcharge de travail
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Prison : entre complexité croissante et absolue nécessité
Chef de service éducatif au SPIP de la maison d’arrêt de Fresnes, Isabelle Gonzales déplore le manque crucial de travailleurs sociaux et la pénurie de partenaires
Lire la suite…SPIP : compétences et qualités requises, pour mission impossible
En 1999, les comités de probation et d’assistance aux libérés (CPAL) et les services socio-éducatifs des établissements pénitentiaires fusionnaient pour donner naissance aux services pénitentiaires d’insertion et de probation (SPIP). Leur statut a encore été modifié en mai 2005, « revalorisant » certains corps de métier mais élargissant, de fait, leurs missions. Le malaise perdure aujourd’hui, plusieurs rapports recommandant l’augmentation des effectifs
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