L’éducation spécialisée est traversée depuis quelques années par des courants idéologiques opposés à l’éducation populaire dont elle est issue. Ne risque-t-elle pas, à terme, de perdre de vue son rôle de transformation sociale au profit d’une forme de gestion des populations marginales ? Le point de vue de François Chobeaux, sociologue et formateur aux Ceméa
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L’éducation populaire a-t-elle un avenir ?
Fin août 2005 à Amiens, le congrès national des Centres d’entraînement aux méthodes éducatives actives (Ceméa) a élaboré des propositions d’action pour les années 2006 – 2010. Toujours aussi militant, le mouvement d’éducation populaire a rappelé que la laïcité est un enjeu pour les années à venir. Et a également appelé les mouvements d’intervention sociale — comme tous les acteurs de l’éducation — à faire émerger des alternatives aux politiques libérales
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