Les logiciels qui accompagnent la mise en place des SIAO questionnent, dans certains départements, les travailleurs sociaux. Le foisonnement de questions, le non-respect de l’anonymat des données, la durée de conservation des informations viennent heurter le principe de secret professionnel et bousculer la notion de secret partagé.
Ce contenu est réservé aux abonnés à la version numérique de Lien social
Accédez à tous les articles du dossier pour 4,00 EUR
Vous êtes abonné(e) ?
Connectez-vous pour accéder en ligne aux contenus de Lien Social.
Vous n’êtes pas abonné(e) ?
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout le site.
S’abonnerDans le même numéro
Dossiers
Le pari de sortir les SDF de la rue
Un grand chantier national 2008-2012, lancé par le gouvernement, vise à refonder la politique d’hébergement et d’accès au logement. Les services intégrés d’accueil et d’orientation (SIAO) en sont le pivot. En principe, ils devraient déjà fonctionner dans chaque département et assurer, par la coordination des savoir-faire et des moyens, un accès équitable aux places d’hébergement, une continuité de la prise en charge jusqu’au logement et enfin l’adaptation des structures aux besoins des personnes. La réalité se révèle bien plus complexe.
Lire la suite…Maison de la veille sociale : précurseur du SIAO
À Lyon, la maison de la veille sociale existe depuis deux ans. Modèle des futurs SIAO, son fonctionnement se confronte à la réalité lyonnaise, marquée par le manque de places et l’absence de solutions adaptées aux problématiques des personnes à la rue.
Lire la suite…