N° 756 | Le 9 juin 2005 | Dossiers
Les lieux de vie : de l’utopie à la reconnaissance institutionnelle
Hervé Sovrano
Partager | | | | 1
Fini le maquis des années soixante-dix : ces microstructures d’accueil voient leur spécificité respectée et intègrent de plein droit le dispositif de l’action médico-sociale. Cette légitimité est le fruit d’une mobilisation sans faille des organisations représentatives des lieux d’accueils non traditionnels et de leurs partenaires. Cependant certains points restent en débat, comme le statut des permanents, leur reconnaissance professionnelle, et le financement de l’accueil des personnes en difficulté d’insertion sociale. Malgré tout, ce n’est pas le projet politique fondateur des lieux de vie qui semble validé ici, mais bien plutôt des savoir-faire en matière d’insertion. Bilan
Ce contenu est réservé aux abonnés à la version numérique de Lien social
Accédez à tous les articles du dossier pour 4,00 EUR
Vous êtes abonné(e) ?
Connectez-vous pour accéder en ligne aux contenus de Lien Social.
Vous n’êtes pas abonné(e) ?
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout le site.
S’abonnerDans le même numéro
Dossiers
Parcours d’un lieu de vie
Françoise et Jean Navineau accueillent des personnes en difficulté sous leur toit depuis plus de 30 ans. La nature et le cheval sont au centre de la vie qu’ils proposent. Mais d’autres idées germent dans leur esprit inventif et entreprenant telle celle d’un bus itinérant, un « sésame nomade » comme ils l’appellent. Ils croient à l’intuition plus qu’à la formation. En tout cas leur ferme de Changy est lieu de vie agréé depuis 1973
Lire la suite…Un nouveau cadre juridique pour les lieux de vie
Ils ont jusqu’au 30 décembre 2006 pour se mettre en conformité
Lire la suite…