N° 1317 | Le 10 mai 2022 | Myriam Léon | Dossiers
Dans le cadre du plan Logement d’abord, les pensions de famille proposent un chez soi pérenne sans solitude. Petites unités combinant appartements autonomes et espaces conviviaux, elles répondent aux besoins de personnes désireuses de s’appuyer sur un collectif. Elles satisfont également le désir des pouvoirs publics de réaliser des économies. Un dispositif aux nombreuses vertus qui se heurte aux écueils de son succès : l’accompagnement du vieillissement de ses habitants, de la perte d’autonomie et de la santé mentale.
Ce contenu est réservé aux abonnés à la version numérique de Lien social
Accédez à tous les articles du dossier pour 4,00 EUR
Vous êtes abonné(e) ?
Connectez-vous pour accéder en ligne aux contenus de Lien Social.
Vous n’êtes pas abonné(e) ?
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout le site.
S’abonnerDans le même numéro
Dossiers
Cohabitation • Famille, je vous ai
Depuis décembre 2019 à La Ciotat (Bouches-du-Rhône), neuf hommes et neuf femmes partagent leur quotidien au cœur de la ville méditerranéenne. Malgré des tensions liées à la vie communautaire, ils apprécient ce lieu où ils jouissent d’un espace privé sans craindre la solitude.
Lire la suite…Entretien avec Laurent Weber • Un dispositif exceptionnel
Tout en animant le collectif, les couples d’hôtes construisent un accompagnement sur-mesure adossé au droit commun. Un équilibre fragile quand les résidents souffrent d’addictions et/ou de troubles psychiatriques non stabilisés.
Lire la suite…