N° 577 | Le 17 mai 2001 | Dossiers
Tel l’apprenti menuisier ou l’apprentie coiffeuse il y a désormais l’apprenti éducateur. C’est en train de sortir, et ça pose beaucoup de questions : nos filières peuvent-elles harmonieusement développer ce type de formations ? Ces métiers du social vont-ils s’en accommoder ? Quel tutorat est mis en place ? Comment les candidats sont-ils payés ? Quelles sont les différences avec les contrats de qualification ?
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Et si l’apprentissage était un contrat plus équilibré ?
L’apprenti a le temps de voir si le métier lui convient, l’employeur le guide et est payé de retour par le travail fourni, le centre de formation apporte les compétences pour un service donné. Il ne reste plus qu’à essayer. L’analyse de Jean-Yves Barreyre, éducateur et sociologue, directeur du CREAI Île de France
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Les élèves pourraient y gagner financièrement, les employeurs stratégiquement, les écoles... opportunément. Mais au bout du compte tout le monde peut très bien y perdre
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