En France, 4,7 millions de femmes vivent sous le seuil de pauvreté, soit 914 euros par mois, contre 3,9 millions d’hommes. Une inégalité qui tend à s’accroître vu qu’elles occupent deux tiers des emplois faiblement rémunérés et 82% des temps partiels. À Marseille et dans l’arrière pays marseillais, les travailleurs sociaux constatent cet engrenage de la précarité au féminin et tentent de freiner le processus d’exclusion.
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Précarité, nom féminin
En France, 4,7 millions de femmes vivent sous le seuil de pauvreté, soit 914 euros par mois, contre 3,9 millions d’hommes. Une inégalité qui tend à s’accroître vu qu’elles occupent deux tiers des emplois faiblement rémunérés et 82% des temps partiels. À Marseille et dans l’arrière pays marseillais, les travailleurs sociaux constatent cet engrenage de la précarité au féminin et tentent de freiner le processus d’exclusion.
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