N° 616 | Le 4 avril 2002 | Dossiers
Les médias avaient assuré à l’ex-directeur de Cheval pour Tous une couverture importante du temps de sa splendeur. Juste retour des choses, pour son procès aux assises, la presse était aussi au rendez-vous. Mais derrière le « super éducateur » violeur d’adolescents, se cache un autre scandale : l’incapacité d’un dispositif à répondre aux souffrances des jeunes les plus en difficulté
Ce contenu est réservé aux abonnés à la version numérique de Lien social
Accédez à tous les articles du dossier pour 4,00 EUR
Vous êtes abonné(e) ?
Connectez-vous pour accéder en ligne aux contenus de Lien Social.
Vous n’êtes pas abonné(e) ?
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout le site.
S’abonnerDans le même numéro
Dossiers
« Osons nous souvenir que peu de structures ont accepté ces jeunes »
Propos recueillis par Jacques Tréminitin
Tout en condamnant fermement les agressions sexuelles dont s’est rendu coupable François Supéri, vous avez affirmé, lors de son procès, que Cheval pour Tous avait été bénéfique pour de nombreux jeunes. Un adulte (...)