N° 1180 | Le 3 mars 2016 | Joël Plantet | Décryptage
Depuis bientôt trente ans, le festival biennal Art et déchirure s’appuie sur la folie pour offrir des créations exigeantes. Du 9 au 20 mars, sa quinzième édition se tiendra dans un climat politique alourdi.
Ce contenu est réservé aux abonnés à la version numérique de Lien social
Accédez à cet article complet pour 2,00 EUR
Vous êtes abonné(e) ?
Connectez-vous pour accéder en ligne aux contenus de Lien Social.
Vous n’êtes pas abonné(e) ?
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout le site.
S’abonner