N° 739 | Le 3 février 2005 | Dossiers
Reconnaître l’existence de l’aliénation parentale
Propos recueillis par Jacques Trémintin
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Hubert Van Gijseghe, psychologue de formation, se situe comme « un empiriste qui essaie d’appréhender la réalité à partir des études scientifiques les plus rigoureuses possibles ». Il rejette les tentatives de récupération dont il est l’objet et se défend de tout parti pris. « Je m’appuie sur les autres auteurs et sur mes propres travaux pour affirmer qu’on ne peut nier l’aliénation parentale, plaide-t-il. Le faire, ce serait comme continuer à affirmer que la terre est plate »
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Dossiers
Le syndrome d’aliénation parentale
Dans les trois quarts des cas, les parents séparés maintiennent, chacun de leur côté, une bonne relation avec les enfants qu’ils ont eu ensemble. Pour une petite partie, donc, cela se passe mal, voire très mal. Un concept apporte depuis une vingtaine d’années un éclairage sur ces situations conflictuelles : un parent aliénant dévalorise l’autre parent qui devient aliéné. L’enfant devient l’otage de ce conflit. Ce phénomène est appelé par ceux qui l’ont identifié le Syndrome d’aliénation parentale. Une théorie toutefois controversée et qui alimente une polémique. Explications
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