N° 734 | Le 16 décembre 2004 | Dossiers
Il faut avoir cinquante-cinq ans pour adhérer à l’association, mais tout un chacun peut venir y boire un verre. Au cœur d’un des quartiers les plus populaires de Paris, des personnes retraitées migrantes ont désormais un lieu vivant favorisant la rencontre, la culture, l’échange, mais aussi la mémoire
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Dossiers
Les vieux migrants sont partis avec l’idée de revenir
Tous ont quitté le pays, voilà 30 ou 40 ans, avec le projet d’y retrouver un jour conjoint et enfants dans la grande maison qu’ils auront fait construire ; de reprendre leur place de chef de famille et de couler des jours tranquilles, vieux et respectés. Aucun ne s’est dit qu’il allait s’installer dans une chambre de 5 m2 avec cuisine et sanitaires communs et n’en plus bouger jusqu’à la mort. Et pourtant…
Lire la suite…Quelle mission pour les foyers de travailleurs migrants aujourd’hui ?
Créées dans les années soixante pour des hommes qui quittaient tout pour travailler en France, ces hébergements surpeuplés et obsolètes doivent s’adapter à une nouvelle donne : des résidants, âgés pour une bonne part, connaissant des difficultés sociales et financières très importantes. Pour éviter que le système n’implose on est en train de transformer ces foyers en résidences sociales. Ce changement n’est pas seulement sémantique mais apporte une réponse concrète aux mutations actuelles
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