N° 759 | Le 30 juin 2005 | Décryptage
À l’occasion de la (discrète) journée mondiale du réfugié le 20 juin, les associations défendant un droit d’asile de plus en plus bafoué, ont affirmé haut et fort que l’accès à celui-ci ne pouvait être remis en cause au nom de la lutte contre l’immigration clandestine. Installée au cœur de Paris, une « roue de l’infortune » a très concrètement rappelé aux passants les aléas de la procédure
Ce contenu est réservé aux abonnés à la version numérique de Lien social
Accédez à cet article complet pour 2,00 EUR
Vous êtes abonné(e) ?
Connectez-vous pour accéder en ligne aux contenus de Lien Social.
Vous n’êtes pas abonné(e) ?
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout le site.
S’abonner