N° 979 | Le 1er juillet 2010 | Dossiers
Roberte Colonel, abandonnée puis maltraitée pendant son enfance, a pu malgré tout se construire, psychiquement et affectivement, en s’appuyant sur des « tuteurs de résilience » de qui elle a su se faire aimer.
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Dossiers
La résilience, une valeur sûre ?
Lorsqu’elles sont dévastatrices, les empreintes initiales de nos vies sont-elles irréversibles ? Certainement pas. Même abusé et maltraité, l’enfant n’est pas l’otage passif de ses traumatismes précoces, et encore moins un adulte en miniature. Un consensus – plutôt récent en France – semble s’être édifié sur ce point. Mais la notion, récemment introduite en France, de « résilience » est-elle inattaquable ?
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