N° 684 | Le 30 octobre 2003 | Dossiers
« Ces adolescents sont dans le déni du danger »
Propos recueillis par Katia Rouff
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Si la prise de risque est inhérente à l’adolescence, elle peut cacher une détresse, un moyen d’échapper à l’angoisse par la recherche de sensations fortes. Cette recherche comporte des risques d’escalade et d’addiction qui peuvent mener à l’accident. C’est ce que nous explique Grégory Michel, docteur en psychopathologie dans le service de psychopathologie de l’enfant et de l’adolescent de l’hôpital Robert Debré (Paris) et auteur de « La prise de risque à l’adolescence [1] ».
[1] La prise de risque à l’adolescence, Grégory Michel, éditions Masson, 2001
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