N° 684 | Le 30 octobre 2003 | Dossiers
Devant les conduites à risque des adolescents, l’éducateur est-il mis, lui aussi, en situation de risque permanent parce qu’il ne dispose que de moyens insuffisants ? Le concept rebattu de « résilience » suffit-il à lui seul à répondre au mal-être de ces jeunes ? Quelques pistes ont été tracées lors d’une rencontre de professionnels les 17 et 18 juin 2003 à Paris, sur le mal-être de ces jeunes qui mettent leur vie en danger
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Dossiers
« Ces adolescents sont dans le déni du danger »
Si la prise de risque est inhérente à l’adolescence, elle peut cacher une détresse, un moyen d’échapper à l’angoisse par la recherche de sensations fortes. Cette recherche comporte des risques d’escalade et d’addiction qui peuvent mener à l’accident. C’est ce que nous explique Grégory Michel, docteur en psychopathologie dans le service de psychopathologie de l’enfant et de l’adolescent de l’hôpital Robert Debré (Paris) et auteur de « La prise de risque à l’adolescence [2] ».
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