N° 1275 | Le 9 juin 2020 | Propos recueillis par Katia Rouff-Fiorenzi | Dossiers
Le regard que nous portons sur les personnes âgées, dévalorisant ou condescendant, a des répercussions sur leur vulnérabilité. Il entraîne aussi une non-reconnaissance des professionnels qui les accompagnent.
Ce contenu est réservé aux abonnés à la version numérique de Lien social
Accédez à tous les articles du dossier pour 4,00 EUR
Vous êtes abonné(e) ?
Connectez-vous pour accéder en ligne aux contenus de Lien Social.
Vous n’êtes pas abonné(e) ?
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout le site.
S’abonnerDans le même numéro
Dossiers
EHPAD • La bourse ou la vie
Les 7 300 maisons de retraite médicalisées ont dû affronter la crise du Covid-19 sans arme et avec une armée clairsemée. En colère et échaudé par les promesses non tenues suite au drame de la canicule de 2003, le secteur en appelle à une solidarité nationale à la hauteur des besoins d’une population vieillissante.
Lire la suite…Formation • La crise des vocations
Malgré un taux de chômage important, les Ehpad peinent à recruter. Pour attirer de nouvelles vocations, il faudra à la fois améliorer les conditions de travail, organiser la formation et offrir des perspectives d’avenir.
Lire la suite…