N° 725 | Le 14 octobre 2004 | Dossiers
« SOTRES me remet le pied à l’étrier pour rejoindre plus tard une entreprise », témoigne Maud qui a perdu son travail de secrétaire après une « dépression » dont elle souffre encore. Elle est salariée de SOTRES comme 27 autres personnes handicapées par une maladie psychique. Plus de la moitié d’entre elles finissent par trouver un poste de travail en milieu ordinaire
Ce contenu est réservé aux abonnés à la version numérique de Lien social
Accédez à tous les articles du dossier pour 4,00 EUR
Vous êtes abonné(e) ?
Connectez-vous pour accéder en ligne aux contenus de Lien Social.
Vous n’êtes pas abonné(e) ?
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout le site.
S’abonnerDans le même numéro
Dossiers
Le CAT de l’Élan offre une activité professionnelle qualifiante
Ce centre d’aide par le travail accueille 115 travailleurs souffrant de troubles psychiques. Plusieurs ateliers leur permettent de retrouver un rythme de travail et des relations sociales. Ils exercent une activité professionnelle qualifiante, même si elle est parfois loin de leurs rêves ou de leur précédent emploi
Lire la suite…L’agence de tourisme Treize voyages
Entreprise d’insertion, l’agence de tourisme Treize voyages emploie des anciens patients du secteur psychiatrique et des personnes en difficultés sociales. Elle propose l’organisation de séjours de vacances aux établissements médico-sociaux et hospitaliers. Encourageant : trois personnes sur quatre trouvent un emploi stable à leur sortie
Lire la suite…La réinsertion professionnelle des handicapés psychiques
Travailler donne le sentiment d’être comme les autres [lire interview ci-dessous]. C’est pourquoi le travail reste le meilleur vecteur de réinsertion. Nous avons visité trois structures qui aident des personnes ayant des problèmes psychiques importants à se réinsérer : le centre d’aide par le travail de l’Élan (lire…) et deux entreprises d’insertion qui sont Treize voyages (lire…) et Sotres (lire…). Toutes trois recherchent un retour vers le milieu ordinaire pour ces personnes.
Un objectif très difficile à atteindre, ce qui est d’autant plus regrettable que 87 % des entreprises qui embauchent des handicapés sont satisfaites de leur choix. Néanmoins, grâce à ces structures, un certain nombre de personnes prises en charge repartent vers le milieu ordinaire et toutes apprennent à reprendre contact avec le monde du travail
Lire la suite…