N° 846 | Le 28 juin 2007 | Dossiers
Immigrés maghrébins de la première génération, ils sont venus en France pour les grands travaux. Ces exilés ont patiemment construit leur intégration, dans une discrétion qui les a rendus aujourd’hui quasi invisibles. À l’heure de la retraite, ils ne parviennent pas à rentrer au pays. Qui sont ces Chibanis, « cheveux blancs » en arabe ? Quels sont leurs parcours, leurs droits, leurs ressources en termes d’accompagnement social ? Enquête à Paris où ils seraient plus de 60 000 migrants âgés non communautaires.
Ce contenu est réservé aux abonnés à la version numérique de Lien social
Accédez à tous les articles du dossier pour 4,00 EUR
Vous êtes abonné(e) ?
Connectez-vous pour accéder en ligne aux contenus de Lien Social.
Vous n’êtes pas abonné(e) ?
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout le site.
S’abonnerDans le même numéro
Dossiers
Un café social pour les Chibanis
Dans cet espace chaleureux créé pour les Chibanis par un collectif de travailleurs sociaux, les vieux migrants, des hommes mais aussi des femmes, peuvent être aidés s’ils le souhaitent. Ils viennent là surtout pour se retrouver entre eux, un peu comme à la maison, et profiter ensemble des ateliers proposés par les animateurs.
Lire la suite…Conditions de ressources, logement, santé : la fin de l’assignation à résidence pour les Chibanis ?
La circulaire du 17 novembre 1998 indiquait que seules les allocations contributives étaient attribuées sans condition de résidence. En revanche, les aides sociales versées aux personnes qui percevaient des revenus trop faibles, comme l’allocation (...)