N° 723 | Le 30 septembre 2004 | Dossiers
Les paradoxes d’un métier impossible, l’exemple des familles d’accueil
Jacques Trémintin
Partager | | | | 1
Le risque est de s’engager trop ou… pas assez. Quand l’équilibre est impossible à trouver, le retrait de l’enfant est décidé. Parfois, la presse s’en empare. Complexité d’une situation au croisement du secret professionnel et de l’émotion
Ce contenu est réservé aux abonnés à la version numérique de Lien social
Accédez à tous les articles du dossier pour 4,00 EUR
Vous êtes abonné(e) ?
Connectez-vous pour accéder en ligne aux contenus de Lien Social.
Vous n’êtes pas abonné(e) ?
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout le site.
S’abonnerDans le même numéro
Dossiers
Faut-il accepter des caméras dans les établissements ?
Ne pas accepter la presse c’est risquer d’entretenir le fantasme des institutions qui ont quelque chose à cacher, lui ouvrir les portes sans précaution cela peut prêter le flanc au sensationnalisme. L’institut de rééducation des Landettes à Saint-Nazaire a tenté l’expérience d’accueillir la télé
Quelles relations entre le travail social et la presse ?
Les citoyens ont le droit d’être informés mais le secret professionnel impose très souvent aux travailleurs sociaux de se taire. Comment concilier cette exigence légitime de l’opinion publique et ce devoir des professionnels du secteur social et médico-social ? Pour essayer de comprendre, nous avons interrogé Didier Dubasque, président de l’Association national des assistants de service social [lire ci-dessous], et nous avons pris pour exemple le travail des familles d’accueil (lire). Enfin, nous relatons les péripéties qui ont entouré un reportage de la télévision dans un institut de rééducation (lire l’article)
Lire la suite…