N° 1213 | Le 21 septembre 2017 | Entretiens réalisés par Myriam Léon | Matière à pensées
Au premier jour de l’été, onze associations et cinquante migrants ont déposé un référé-liberté devant le tribunal administratif de Lille pour obtenir un minimum d’humanité dans l’accueil des exilés à Calais.
Cette procédure est utilisée quand une administration ou un organisme chargé d’un service public porte « une atteinte grave et manifestement illégale à une liberté fondamentale ». Vincent De Coninck et Arthur Thomas témoignent de cette saisine particulière.
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