N° 1235 | Le 18 septembre 2018 | par Lætitia Noviello | Dossiers
La longue refonte des formations a vu s’affronter deux visions des métiers du social. D’un côté, les tenants d’un diplôme unique, façon « social worker » à l’anglo-saxonne, de l’autre, les défenseurs de l’identité des métiers. La réforme qui entre en vigueur mélange ces deux appréhensions, introduisant davantage de cours en commun mais préservant les spécificités de chaque formation.
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Quels sont selon vous les points positifs de cette réforme ?
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