Afin de réduire le risque épidémiologique mais aussi pour s’approcher au plus près des consommateurs de drogue en rupture sociale, plusieurs États ont créé des salles de consommation encadrées par des professionnels. Pour l’heure, toutes les études mettent en évidence les effets positifs de ces structures. Elles permettent de limiter la propagation d’hépatites ou du sida et le risque d’overdose, elles restent également l’un des rares espaces où il est possible de rentrer en contact avec une population souvent invisible. En France, aucune décision favorable n’est encore prise.